Accueil Édition Abonné «La police tue»: au fait, Monsieur Mélenchon, la honte, c’est quand?

«La police tue»: au fait, Monsieur Mélenchon, la honte, c’est quand?

Mélenchon persiste et signe


«La police tue»: au fait, Monsieur Mélenchon, la honte, c’est quand?
Xose Bouzas / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP

Après la mort d’une femme lors d’un contrôle dans le 18e arrondissement de Paris, le 4 juin, la garde à vue des trois policiers a été levée et l’enquête continue. En campagne électorale, le leader d’extrême gauche Jean-Luc Mélenchon maintient ses propos outranciers sur la police.


Alors que les trois policiers impliqués dans la mort d’une jeune fille sont sortis libres de garde à vue, Jean-Luc Mélenchon maintient donc ses propos sur la police.

Pour les trois policiers, il n’y a pas de mise en examen, mais une information judiciaire ouverte pour violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner par personne dépositaire de l’autorité publique. À ce stade, cela veut dire qu’il n’y a pas d’indices sérieux d’une action illégitime et disproportionnée, mais que l’enquête se poursuit. La justice fera son travail.

Mélenchon fait de la récupération politique à la veille


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