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La fabrique du crétin 2: 3e livraison


La fabrique du crétin 2: 3e livraison
Image d'illustration Unsplash

Chers lecteurs, je profite de ces vacances pour écrire mon dernier livre sur l’état de l’Ecole, à paraître en janvier prochain. L’idée m’est venue de vous en soumettre les chapitres essentiels, afin de tenir compte de vos réactions. Aujourd’hui, comment les faiseurs de programmes ont remplacé la figure du héros par celle de la victime.

Entre l’acte de naissance de l’euro, inscrit dans le Traité de Maastricht, et le passage effectif à la monnaie unique, en janvier 2002, il fallut résoudre la question, qui était loin d’être secondaire, de ce qui serait représenté sur les billets de banque de la nouvelle monnaie.

Chaque pays imprimait sur ses billets le visage de ses grands hommes. L’Allemagne y mit, entre autres, un portrait gravé par Lucas Cranach l’Ancien, puis y représenta l’humaniste et cartographe Sebastian Münster, avant de commencer une série d’artistes célèbres, toutes des femmes (Bettina von Arnim, par exemple)




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Normalien et agrégé de lettres, Jean-Paul Brighelli a parcouru l'essentiel du paysage éducatif français, du collège à l'université. Il anime le blog "Bonnet d'âne" hébergé par Causeur.

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