Accueil Édition Abonné La députée de gauche Sandrine Rousseau estime qu’il y a des limites à la caricature

La députée de gauche Sandrine Rousseau estime qu’il y a des limites à la caricature

Elle estime être une minorité victime de cyberharcèlement


La députée de gauche Sandrine Rousseau estime qu’il y a des limites à la caricature
Capture d'écran TMC

Elle estime être une minorité victime de cyberharcèlement


Interrogée avant hier dans l’émission « Quotidien » (TMC), Sandrine Rousseau a à nouveau démontré une absence d’autodérision et des tendances à la censure politique révélatrices de cette gauche inconsciente de certains penchants totalitaires.

Le contexte: moquée par le compte parodique Sardine Ruisseau, la militante écologiste a voulu le faire interdire. Mais comme ce compte ne contrevient à aucune loi, il a non seulement été rétabli mais a gagné dans l’aventure tant d’abonnés qu’il a depassé le nombre de personnes suivant le compte original. Une première sur Twitter ! Il faut dire qu’au vu des outrances de Sandrine Rousseau, on a parfois du mal à distinguer la parodie de la réalité tant la radicalité apparaît souvent un solvant du simple bon sens comme de l’honnêteté intellectuelle.

Voyage en Absurdie

Bien sûr, pour Sandrine Rousseau, la moquer est une agression qui ne saurait venir que du fascisme rampant qu’incarne « l’extrême-droite ». Elle n’est donc pas moquée pour ses exagérations mais parce qu’elle incarnerait la justice et la droiture. Ce n’est pas Mozart que l’on assassine en s’en prenant à elle, mais Jean Moulin que l’on tente de bâillonner.


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Ancienne conseillère régionale PS d'Île de France et cofondatrice, avec Fatiha Boudjahlat, du mouvement citoyen Viv(r)e la République, Céline Pina est essayiste et chroniqueuse. Dernier essai: "Ces biens essentiels" (Bouquins, 2021)

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