Les amateurs de corridas et de spectacles taurins seraient-ils les nouveaux damnés de la terre ? Du Pays basque jusqu’à Arles, une cinquantaine d’arènes reçoivent quelques millions d’aficionados chaque année.
L’objet ici n’est pas de défendre les amis de cette pratique, mais de se demander pourquoi leur passion trempée dans le libre arbitre appelle aujourd’hui des flots de haine et d’insultes.
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Que ce soit clair, la corrida n’est ni de gauche ni de droite. On peut être libertaire, aimer les traditions et refuser le discours de rupture des modernes. Est-ce réactionnaire où seulement
