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La joyeuse insolence de Raymond Queneau

Le poème du dimanche


La joyeuse insolence de Raymond Queneau
Raymond Queneau et Maurice Genevoix lors du cinquième Festival de Cannes en mai 1952 © LIDO/SIPA

Le poème du dimanche.


Il est évident que ce dimanche électoral va faire beaucoup d’insatisfaits car si j’ai bien compris beaucoup de gens vont voter contre et très peu pour, ce qui est toujours source d’insatisfaction. Raymond Queneau, qu’on ne présente plus, est l’inoubliable inventeur de Zazie, la petite fille qui voulait prendre le métro et ponctuait ses désillusions et ses doutes sur la condition humaine d’un très philosophique « Mon cul », parfaite maxime du scepticisme absolu.

Il n’empêche que chez Queneau, le bonheur réclame une certaine forme de sagesse, une acceptation


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