De 1979 à 2004, le film de Patric Chiha, La bête dans la jungle, donne à voir l’histoire d’une boîte de nuit parisienne, du disco à la techno. Un peu prétentieux.
« – Comment s’appelle cette boîte ? – Elle n’a pas de nom. C’est la boîte sans nom », répond la physionomiste, sous les traits – de plus en plus entamés ! – de cette légende vivante qu’est Béatrice Dalle. L’impayable actrice se fait rare à l’écran (on ne l’avait pas revue depuis L’amour c’est mieux que la vie, le dernier Lelouch) mais à chacune de ses apparitions, le soufre monte aux narines : elle en aime l’odeur, elle en attire à elle la fragrance ! Cf. Lux Aeterna, de Gaspar Noé, en 2019. L’an prochain, Fabrice du Welz, le réalisateur d’Inexorable, l’invitera dans Maldoror, à l’enseigne de Lautréamont.

Pour l’heure, revoilà donc notre Béatrice nationale en guest star quasi
