Habitué aux joutes médiatiques, hier comme dirigeant communiste, aujourd’hui comme chroniqueur politique, Olivier a des tripes et du cœur quand il s’agit de défendre ses idées. « J’aime qu’on me contredise ! » pourrait être sa devise
En quittant le studio d’Europe 1, le 23 mars, après avoir réagi à l’agression du rabbin d’Orléans, Arié Engelberg, acte odieux commis sous les yeux de son jeune fils, j’ai de nouveau fait le constat d’une triste réalité. Face au « fléau », au « poison », à l’« horreur » de l’antisémitisme et à son « effroyable » progression depuis le 7 octobre 2023, les mots commencent à manquer. Peu à peu, à force d’être répétés, ils se vident de leur sens, ils s’assèchent. Tout cela prend l’odeur rance de
