Attiré par les dithyrambes de la presse et la présence au scénario de Fabrice Caro, notre chroniqueur, qui est resté un grand enfant, s’est procuré le dernier Astérix, l’Iris blanc. Catastrophe et désolation: sa lecture ne laisse rien passer.
À la copie, toujours préférer l’original. Vous n’achèteriez pas une copie de la Joconde exécutée au Louvre par un étudiant en beaux-arts chinois, n’est-ce pas — aussi adroits que soient les artistes chinois dans l’art de la copie… Eh bien, il en est de même ici.
J’avais quelque espoir : Fabcaro, de son vrai nom Fabrice Caro, est un bon scénariste, et un romancier fort drôle, j’avais l’année dernière salué ici son Samouraï. Tout ce qu’il en reste, c’est cet iris dont il tire son titre — et qui est le prénom de l’une de ses filles.
Pourquoi diable un iris ? Le personnage qui en tire sa philosophie,
