En s’étripant pour sa fortune, la veuve et les rejetons de Johnny Hallyday ont déchiré son héritage.
Quand j’entends Johnny Hallyday chanter Gabrielle, ça ne loupe pas, je retrouve le gosse de 12 ans que j’étais, ce soir de l’été 76 où j’ai pris cette chanson en plein cœur pour la première fois. Je me souviens parfaitement du choc, de cette porte qui s’ouvrait sur un monde étrange et brûlant, obsédant, furieusement et farouchement sexuel.
Depuis quarante ans, la chanson a gardé son pouvoir magique. Chaque fois, quand la voix en or massif de notre King se pose sur les premiers sons de guitare,
