Tous les moyens sont bons afin d’endiguer la propagation des MST et de protéger les athlètes lors de leurs ébats sexuels, durant la grande fête du sport qui approche.
Elles s’appellent Syphilis, Gonorrhée, Chlamydiose, Trichomonase, VIH… Aux JO de Sydney, leur prévalence avait augmenté de 29 % dans le milieu des athlètes et de leur staff. C’était la meilleure progression en matière de performance !
Elles, ce sont les maladies sexuellement transmissibles (MST). Et elles attendent les JO de Paris avec
