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Jeux Olympiques: et si l’on séparait sport et politique?

Idéologiquement, l'important c'est de gagner, pas de participer...


Jeux Olympiques: et si l’on séparait sport et politique?
A Paris, la place de la Concorde se prépare à accueillir les Jeux olympiques, 28 mars 2024 © Houpline Renard/SIPA

Paris n’échappera pas à cette règle des jeux : le monde entier cherchera à pousser son agenda politique dans la capitale française cet été. Malheureusement.


Rien n’est sans doute plus politique que le sport, fors la politique elle-même. Pourtant, rien ne devrait plus échapper à celle-ci que les joutes sportives. Tandis que nous espérons voir briller les Jeux Olympiques par les performances des athlètes, certains entendent déjà s’accaparer la grand-messe quadriennale pour faire avancer leur propre agenda.   

L’histoire regorge de ces épisodes où sport et politique n’ont, pour le meilleur et pour le pire, fait qu’un. Les Jeux, ce moment hors du temps durant lequel la compétition est portée à son acmé, n’ont jamais échappé à la règle : on se souvient du triomphe remarquable de Jesse Owens, en 1936 à Berlin, devant Adolf Hitler, des JO de 1980 à Moscou tenus en l’absence d’athlètes américains et issus de pays… musulmans suite à l’invasion


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