Comme nous l’avions pressenti ici-même, la bonbonne, ça donne. Bien que beaucoup moins médiatisés que leurs compagnons d’infortune de Nortel à Chateaufort ou de New Fabris à Chatellerault, les salariés de l’entreprise néerlandaise JLG à Tonneins, qui avaient menacé de détruire des nacelles élévatrices produites par leur société en faisant exploser des bouteilles de gaz, ont fait plier leurs licencieurs. « Notre proposition était une indemnité de 30 000 euros pour les 53 personnes qui doivent être licenciées. Nous avons obtenu gain de cause », a indiqué vendredi le secrétaire du CE. Comme quoi le chantage n’est pas une solution sauf, bien sûr, quand il n’y a pas d’autres solutions…
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