Il n’est désormais plus question de parler d’islamo-gauchisme au sujet de LFI. Ils sont, au cœur des institutions, les infiltrés soumis et zélés des islamistes, allant jusqu’à jouer les VRP dociles de l’industrie textile des barbus…
À quelques heures d’une rentrée scolaire placée sous le signe de l’inflation galopante et donc, plus que jamais, de l’inégalité des chances, ces gauchistes “d’extrême-droite” tricotent des abayas à l’atelier Mélenchon. Alors que des gamines en Iran, subissent encore les foudres de la répression, ils osent l’innommable et devront un jour rendre des comptes et leurs bons de commande.
Avant que ces histoires de chiffon finissent mal, c’est inéluctable, il faut dans l’immédiat trouver un moyen pacifique pour combattre le forcing sectaire de l’islamisme. Si le manque d’humour et de dérision, ne parlons même pas d’auto-dérision (faut pas déconner), est la marque d’usine de cette fabrique à clones, éclairons les ténèbres avec un rayon de lumière tropicale. J’oppose donc dans l’urgence, le hashtag #je suis à Bahia à l’étau d’abayas qui va pendant des semaines nous presser le cortex.
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Des cheveux sur la langue. Ce n’est pas banal l’obsession des musulmans pour les cheveux de la femme. Prenez deux garçons hétéros, placez-les sur un banc public devant une foule de piétons. Quelles que soient leur couleur, leur nationalité, leur religion, l’islam mis à part, devant le passage d’une jolie fille le dialogue sera peu ou prou le même. “Pow, pow, pow, vise un peu le c.., putain les n…”. Ça ne fait pas un Prix Nobel à Oslo mais c’est relativement sain et universel. Vu l’attraction des muslims pour le casque des femmes, on peut imaginer le verbatim de leur conversation dans la même situation. “Pow, pow, pow, vise un peu les cheveux gras à bâbord. Je lui ferai bien un shampoing!” “Moi je préfére les cheveux secs, avec la pointe qui fourche. Je sors ma paire… de ciseaux et je lui fais un balayage.” “Et l’autre là-bas, je vais lui faire la frange avant l’after!” “C’est quoi l’after?” “Un après-shampoing!”… Bref, de la racine à la pointe du cheveu, si l’on ne se destine pas à bosser dans un salon de coiffure à la coupe, à la couleur ou au shampoing, il y a quand même une incompréhension devant la voracité des musulmans à couper les cheveux en quatre.
En rire avant d’en pleurer. Bahia donc. Même si elle reste imaginaire, il y a en matière de sensualité et d’esthétisme, pire comme destination. La paillote Mélenchon, par exemple. Panot aux fourneaux, Rousseau au micro, Obono au vestiaire, Bompard au comptoir, Tondelier aux platines, Faure à la plonge, et les barbus pour relever les compteurs. Vous je ne sais pas, mais moi ça me fait peur. Alors direction la plage de Corumbao, pour déguster un Bobo de Camarao, crevettes, purée de manioc et lait de coco, à l’ombre d’un manguier, un bouquin de Jorge Amado dans la main gauche, un verre de caïpirinha dans la droite, une mélodie de Gilberto Gil aéroportée par l’alizée, avant de sombrer dans le sommeil accompagné par le chant des baleines à bosse.
Bref, face à l’archaïsme sectaire des Fréristes et de leurs cousins en place, le hashtag #je suis à Bahia pourrait porter une première banderille à leur funeste entreprise ! À considérer, ce qui est mon cas, que le ridicule tue.
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