En Calabre, Riace était devenu « le village des migrants » accueillant près d’un tiers de clandestins. Soupçonné d’avoir organisé des mariages blancs, son maire déchu en répond devant la justice. Et ses anciens administrés plébiscitent Salvini.
Jusqu’à ces derniers mois, deux chiffres enchantaient les militants « no border » italiens : Riace, 1 800 âmes, 600 migrants. Par la volonté de son ancien maire Domenico Lucano, cette bourgade de Calabre était en effet devenue
