Une solution, vraiment?
Depuis 1993, la « bien-pensance » qui psalmodie l’antienne politiquement correcte de la solution dite « à deux États » est, de mon point de vue, dans le déni des réalités. N’osant pas dire les choses qui fâchent telles qu’elles sont, ses partisans les projettent telles qu’ils voudraient qu’elles fussent.
Le premier constat que je fais, c’est que le « peuple palestinien » n’a jamais existé à proprement parler.
Le généticien Michael Hammer de l’Université de l’Arizona a découvert que le chromosome Y des Arabes du Moyen-Orient est quasiment « impossible à distinguer de celui des Juifs ». L’équipe de la généticienne Ariella Oppenheim de l’Université de Jérusalem a entrepris une étude complémentaire à la précédente en se focalisant sur des Juifs ashkénazes et séfarades versus des Arabes israéliens et palestiniens ; la conclusion est que ces hommes ont « des ancêtres communs au cours des derniers milliers d’années ». Ces résultats correspondent aux récits historiques selon lesquels certains Arabes musulmans descendent
