C’est une caricature qui a enflammé toute l’Inde, le 19 octobre dernier. Lorsqu’elle publie sur son compte Twitter deux dessins, montrant une femme victime d’un viol et le violeur faisant une offrande à la déesse Durga, Deepika Singh Rajawat ne s’attendait pas à déclencher un tollé national. L’association d’une image sexuelle avec celle de la divinité a été jugée hérétique par les plus ultras des hindous qui ont crié haro sur l’avocate spécialisée dans
