Et si c’était l’extrème gauche qui était aux portes du pouvoir ? Sur TF1, l’ancien président de la République a appelé à voter pour le nouveau « Front populaire » dominé par les mélenchonistes
On le voyait de temps en temps dans tel ou tel média, ressassant plus ou moins tacitement son amertume contre son poulain, Emmanuel Macron, qui, emporté sans doute par son destin, l’avait trahi sans états d’âme aucun lors de l’élection présidentielle de 2017. « Monsieur petites blagues », joli sobriquet aux consonances sympas, ne plaisante pourtant pas avec l’affront qu’il a subi et qu’il remâche encore.
Ne vous fiez pas à son allure débonnaire, à son profil arrondi, à ses jeux de mots faciles
