Lu sur Slate : « Vous pensiez les parties intimes du corps féminin libres et indépendantes? Erreur. Par les termes choisis pour les définir, elles sont elles aussi l’incarnation de la domination patriarcale… »
En mai, on ne fait plus ce qui nous plaît. Pour émanciper les femmes à marche forcée, le journal en ligne Slate n’a rien trouvé de mieux que d’appeler à rebaptiser les parties génitales féminines. Car, ô scandale, le corps féminin serait depuis la nuit des temps le terrain de jeu de phallocrates qui ont donné « des noms
