Dans La Cité aux murs incertains, Haruki Murakami entraîne le lecteur dans un monde poétique et inquiétant. Pour entrer dans l’univers du romancier japonais, il faut abandonner toute rationalité.
Haruki Murakami est une star et chacun de ses romans un événement. Après le subtil et délicat Galette au miel, l’auteur japonais le plus lu au monde nous revient avec une somme de plus de 500 pages au titre murakamiesque en diable : La Cité aux murs incertains. Sorti au pays du Soleil-Levant il y a un an, le roman vient de prendre place dans nos librairies et attise les curiosités. De l’auteur traduit en plus de cinquante langues, on sait peu de choses. Que son nom signifie « l’arbre de printemps dans le haut du village », ce qui en soi est déjà une invitation au voyage.
