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Guerre du feu et psychanalyse des entrecôtes

Sandrine contre Rahan, fils non-déconstruit des âges farouches


Guerre du feu et psychanalyse des entrecôtes
Photo d'illustration Unsplash

C’est la rentrée. Fini le farniente estival, l’insouciance, l’abondance… 


Dans la guerre du feu, psychanalyse des entrecôtes, psychose lunaire du barbecue qui fait la Une depuis la dernière hase (à la royale) levée par la reine dégenrée du buzz, fêlée clochette de l’androcène (de ménage) – Sandrine Rousseau -, il importe de remonter à la scène originaire du crime. Le premier Homo erectus, salaud-carnivore-viriliste-extractiviste-invisibilateur-toxique-non-déconstruit n’est pas Eric Zemmour, Eric Ciotti, Gérard Depardieu, Bocuse, Landru, Brillat-Savarin, Vatel, Portos, Gargantua, Grandgousier, Obélix, Cronos… C’est


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