Le scandale autour de l’intelligence artificielle de Google – laquelle repeint en noir les vikings et nos rois de France – s’inscrit dans un mouvement plus vaste : le « race swaping », un phénomène de grande ampleur. Le robot cauchemardesque, qui devait faire la promotion de la « diversité », fait en réalité la promotion de la théorie fumeuse du privilège blanc, et refuse également de faire la promotion de la viande ou de stigmatiser les pédophiles… Sundar Pichai, le PDG de la firme, a qualifié toutes ces « erreurs » de « totalement inacceptables ». Son concurrent Elon Musk s’amuse.
« Cachez ces Blancs que je ne saurais voir ! » Telle pourrait être la devise de Google, dont l’IA Gemini a rendu évidentes les positions résolument racistes. Car contrairement à ce que prétendent la direction de la firme ou des publications comme Numérama, ce que nous allons évoquer n’a rien d’une erreur de programmation. Comme l’a fort justement souligné Elon Musk, Google a seulement abattu ses cartes trop tôt, son racisme est conscient et volontaire. Et il s’inscrit dans une orientation idéologique qui imprègne même le célèbre moteur de recherche, et vise à influencer ses utilisateurs.
Désolé, Dave, j’ai des biais idéologiques…
Reprenons. Il y a quelques jours, des internautes ont mis en évidence les biais idéologiques de Gemini, l’IA développée par Google, en testant sa fonction de génération d’images. L’obsession de l’IA – en réalité de ses programmeurs – pour la « diversité » produit des résultats à la fois hilarants et inquiétants, consistant (pour faire simple) à mettre des « racisés » partout, absolument partout.
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