Celui que le quotidien de gauche Le Monde qualifie de « dandy du débat télévisé » – pour mieux critiquer tout de suite après ses prestations sur RT France ou CNews -, est désormais directeur de l’hebdomadaire Marianne.
Directeur de Marianne, Frédéric Taddéï écrit à la dernière page, comme il se doit, « Le mot de la fin ». Dans le numéro en cours : « … Il faut abolir cette peine de mort politique qu’est la peine d’inéligibilité ». Je sais que son point de vue sera contredit aussi bien pour des motifs politiques que médiatiques. C’est le propre des idées fortes et ce n’est pas Frédéric Taddéï qui s’en plaindra ! Je n’ignore pas avoir déjà écrit sur Frédéric Taddéï et je ne ressens pas le besoin de m’en excuser. D’abord pour ma propre satisfaction. Je déplais trop souvent par une envie, à laquelle je ne veux résister, de dire le fond de ma pensée, la nature de mes humeurs, pour ne pas me féliciter de cette opportunité renouvelée de pouvoir estimer quelqu’un.


J’ajoute que le Frédéric Taddéï d’aujourd’hui a changé de registre. L’indépassable animateur de « Ce soir (ou jamais ! »)
