C’est un phénomène méconnu de beaucoup de Français: figurez-vous que des musulmans quittent la France, pays bien trop inhospitalier. Du moins, c’est ce que constate Le Monde pour le déplorer…
Comme toujours quand s’accumulent les « faits divers » et que la réalité brutale de l’islamisation s’impose dans les médias, l’islamo-gauchisme tente d’allumer des contre-feux et de faire entendre sa complainte victimaire. Ainsi, un récent article du Monde évoquant des musulmans qui envisagent de quitter la France alors qu’ils y sont « bien installés », joue sa partition et rencontre ces jours-ci un certain écho[1].
A sa lecture, on pourrait d’abord être tenté par la compassion vis-à-vis des situations évoquées. Du moins au début du texte. Bien vite, l’absence totale d’évocation des victimes de l’islamisme devient insupportable, tout comme le refus de la moindre remise en cause. En 2014, déjà, Abdennour Bidar écrivait dans sa Lettre ouverte au monde musulman : « Tu te réfugies dans le réflexe de l’autodéfense sans assumer aussi et surtout la responsabilité de l’autocritique. Tu te contentes de t’indigner alors que ce moment aurait été une occasion historique de te remettre en question. » Rien n’a changé.
Une « islamophobie » d’atmosphère dénoncée
Le 7 octobre, par exemple, est mentionné dans le texte du Monde. Quatre fois. Comme un « paroxysme ». Mais pas comme un paroxysme d’horreur perpétrée au cri d’Allah akbar, non, seulement comme un paroxysme de « défiance » envers les musulmans. L’origine d’une « double
