«Les socialistes, relève-t-il, n’ont pas eu le monopole de cette indignation ridicule, la bonne droite juppéiste, bien-pensante — c’est-à-dire “non-pensante” — y est allée aussi de son couplet…» Il en conclut donc «qu’après la laïcité, les opposants les plus déterminés au parti que dirige Marine Le Pen, lui abandonnent maintenant sans coup férir la décence commune. Avec des ennemis comme ça, le FN n’a même pas besoin d’amis.» Au cours de l’émission, Finkielkraut évoque aussi «la haine qui se déchaîne dans les rues de Paris, de Nantes ou de Rennes» et considère à nouveau que «son intensité particulière» trouve sa source dans la «volonté de fermer la parenthèse d’union nationale qui avait été inaugurée par l’immense manifestation du 11 janvier».
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