Adaptation d’un best seller de Daniel Mallory publié il y a deux ans, ce thriller plutôt réussi met aux prises une femme agoraphobe avec ses nouveaux voisins. Même si la finesse psychologique n’est pas toujours au rendez-vous, le film offre un bon spectacle. Critique.
Dans une vaste demeure de la 121e Rue de Manhattan réside une habitante curieuse.
Anna Cox (Amy Adams) est agoraphobe. Gavée de médicaments, elle vit recluse dans l’obscurité. Seule avec son chat persan, elle passe son existence à noyer son chagrin dans le vin rouge en regardant de vieux films. On découvre rapidement qu’elle est psychologue, et qu’elle est séparée de sa fille qui s’en est allée avec son père. Son locataire passe lui descendre les poubelles. Pour une agoraphobe, Anna a tout de même quelques visites.
Elle parvient à ouvrir la porte au fils des voisins qui viennent d’emménager dans la maison d’en face. Le jeune Ethan est un ado gentil et tranquille, mais il semble un peu simplet et malheureux.
Un cri de
