Pour refuser les étiquettes stigmatisantes, rien de mieux… que de s’attribuer des étiquettes et de les revendiquer. C’est le principe de ces expos coloniales 2.0 où l’on ne porte plus de pagne, mais plutôt les cheveux bleus.
Autrefois, pour s’offrir un petit shoot d’altérité, on allait visiter des zoos humains. Il s’en montait à l’occasion des Expositions universelles. De nos jours, ce serait impensable. C’est pour cette raison qu’a été lancée l’opération « La bibliothèque
