Accueil Brèves Evelyne Dhéliat ou rien

Evelyne Dhéliat ou rien


Comment reconnaître un grand écrivain ? Quand il rend l’âme, il laisse à la postérité de testimoniales paroles. Bernanos se dressa sur son lit en s’écriant : « A nous deux ! », quand Anatole France, moins sûr de lui, murmura : « Maman, maman… » Jeudi dernier, l’auteur de Disparaître fut, lui, beaucoup plus disert au moment de s’effacer. Et les graveurs doivent déjà se frotter les mains qui devront inscrire dans le marbre les dernières paroles de Patrick Poivre d’Arvor au JT de TF1 : « Dans un instant la météo d’Evelyne Dhéliat suivi de R.I.S., police scientifique. Très bonne soirée à tous. »



Vous venez de lire un article en accès libre.
Causeur ne vit que par ses lecteurs, c’est la seule garantie de son indépendance.
Pour nous soutenir, achetez Causeur en kiosque ou abonnez-vous !

Article précédent Le culte de la Révolution est mort
Article suivant Pourquoi j’aime le Tour

RÉAGISSEZ À CET ARTICLE

Pour laisser un commentaire sur un article, nous vous invitons à créer un compte Disqus ci-dessous (bouton S'identifier) ou à vous connecter avec votre compte existant.
Une tenue correcte est exigée. Soyez courtois et évitez le hors sujet.
Notre charte de modération