Si Macron s’est bien amusé cet été à Brégançon, cela ne l’empêche pas de se positionner en donneur de leçons…
C’est presque trop facile, trop gros. On croirait un gag digne de la « trilogie tropézienne » de Max Pecas (qu’on a pu revoir en août sur C8), lequel ne reculait devant aucune grosse ficelle pour faire rire au point d’avoir fait de ses invraisemblances scénaristiques une marque de fabrique qui séduit encore aujourd’hui les cinéphiles déviants. Dans Voici, on voit le président en jet-ski s’amusant comme un retraité texan ou un oligarque russe devant Brégançon, alors qu’il n’est partout question que d’incendies, de guerres, de sécheresse et de dévastations sans nom en comparaison desquelles les dix plaies d’Egypte vous ont des airs d’épisodes de « Candy ».
Ça tangue (c’est le cas de le dire) un peu dans les médias, les macronistes qui n’ont décidément peur de rien nous expliquent même que le jet-ski
