En réponse aux accusations d’antisémitisme qui pèsent contre elle, la championne de basket dit qu’elle s’«excuse auprès de ceux qui se sont sentis blessés».
« Plus vite, plus haut, plus fort », telle est la devise des Jeux Olympiques. Au train où vont les choses, on se demande si l’édition de 2024 ne va pas mettre Paris sur orbite. L’idée d’instaurer un QR code afin de contrôler les déplacements autour des différents sites ou celle de fermer les aéroports de Roissy et Orly, le 26 juillet, pour parer à toute attaque aérienne ne rassurent pas vraiment quand on sait qu’aux quatre coins du pays on surine à tout-va ou qu’on se fait mettre martel en tête. Si une note ouverte de la DGSI rappelle qu’«un évènement sous le feu des projecteurs planétaires fournit une caisse de résonance très forte pour des activistes en quête d’impact et de notoriété » et appelle la France à « prendre en compte tous les types de menaces qui pourraient porter atteinte à l’organisation des Jeux, perturber leur déroulement, tant sur les sites olympiques qu’ailleurs (…) », il n’y a guère, à ce jour, que Gros lardon et ses potes qu’on maîtrise à peu près.
Funestes accointances
Et maintenant on découvre qu’Émilie Gomis,
