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Avant le 27 juin, c’était comment ?

C'était mieux avant ?


Avant le 27 juin, c’était comment ?
L'Hôtel de ville de l'Hay les Roses, barricadé de barbelés, le 3 juillet 2023. © ACCORSINI JEANNE/SIPA

Le temps de « paix » d’avant le 27 juin nous manque. Mais existait-il vraiment alors que de nombreux maires faisaient l’objet d’agressions? Les émeutes ne constitueraient-elles pas un effet loupe finalement bienvenu?


L’unique avantage des émeutes – que Jean-Luc Mélenchon s’obstine à qualifier de révolte – est qu’elles grossissent une réalité que, dans sa déplorable quotidienneté, on ne sait plus voir. À laquelle on est tellement habitué qu’on la perçoit comme le rythme de croisière d’une France oscillant entre délits et crimes, entre insécurité et faiblesse judiciaire, entre vœux pieux et coups de menton, entre promesses de ne jamais céder et abandons multiples, entre une démocratie molle et un pouvoir au


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Magistrat honoraire, président de l'Institut de la parole, chroniqueur à CNews et à Sud Radio.

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