Nous apprenions en novembre, devant le tribunal correctionnel de Fontainebleau, l’existence d’un certain violeur de chèvre…
La nuit du 10 au 11 mai 2022 a été chaude, à Chaintreaux, en Seine-et-Marne. Et on ne l’a appris que fin novembre, avec le procès devant le tribunal correctionnel de Fontainebleau d’un jeune homme de 25 ans accusé… d’avoir violé une chèvre.
L’agresseur (présumé) a reconnu les faits, expliquant préférer « le faire » avec une biquette plutôt qu’avec une femme. Selon Stéphane Lamart, président de l’association du même nom qui milite pour les droits des animaux, cité par Le Figaro : « Alors qu’il commençait à se masturber – comme en attestent les caméras de vidéosurveillance – il s’est approché d’une chèvre âgée de trois ans avant de la pénétrer. L’animal s’est ensuite mis à le lécher. Pour l’individu, c’était un signe de consentement, il l’a alors violé pendant 30 minutes ». Mais ce n’est pas tout ! L’accusé aurait ensuite emmené la chèvre dans sa voiture afin de la proposer à un ami qui l’attendait à l’intérieur, mais celui-ci aurait catégoriquement refusé de se prêter à une tournante de cabri. L’animal a finalement été abandonné non loin, dans une forêt de Souppes-sur-Loing. Après avoir été retrouvée par sa propriétaire, la chèvre a été conduite chez le vétérinaire qui a effectué des prélèvements, constatant ainsi des lésions génitales. Cinq jours plus tard, la gendarmerie a mis la main sur le loup de Chaintreaux. Depuis, Blanquette et ses copines sont tranquilles.
Mais à quand un #MeToo des caprins ?