Il y a quinze jours, l’Iran et la Syrie, deux pays en conflit ouvert avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) à cause de leurs programmes nucléaires, ont créé la surprise en posant leurs candidatures à l’un des 35 postes de gouverneurs de l’agence onusienne. Depuis les Iraniens ont décidé de se retirer de la course, laissant la Syrie et l’Afghanistan se disputer ce poste. Avec de tels pays contrôlant la diffusion des technologies nucléaires, l’avenir du monde semble plus sûr que jamais : nos descendants pourront dormir sur leurs deux oreilles, voire sur trois ou quatre…
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