Pour ceux qui l’ont oublié, les Grecs sont aussi appelés aujourd’hui aux urnes. Elections législatives certes mais puisqu’il s’agit d’un régime parlementaire, cela revient à élire l’exécutif. Les enjeux sont considérables pour ce pays en faillite. Malgré la gravité de la situation et le fort rejet de la classe politique au pouvoir depuis 1974, l’ancien premier ministre socialiste Georges Papandréou est plutôt optimiste.
Papandréou constate en effet, avec une allusion à peine voilée à l’élection française, « que la roue tourne en Europe, où souffle un vent progressiste ». Après Bruxelles et Genève voici qu’Athènes nous brûle la politesse.
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