Sacré hier à Roland-Garros pour la troisième fois de sa carrière, le Serbe est devenu le joueur le plus titré de l’histoire en Grand Chelem avec 23 titres.
Il triomphe, il terrasse, il flamboie, il agace, il irrite, il dérange, il clive. Mais il met tout le monde d’accord dès qu’il prend possession d’un court sur quelque continent que ce soit. Vingt-trois grands chelems, qui dit mieux ? Ou plutôt qui dira mieux désormais… À part Djokovic lui-même, peut-être bien ? Bref, l’homme frise le surhomme à maints égards. Ceux qui le côtoient ne cachent pas – en privé – qu’il atteint ce niveau, qu’il s’y maintient avec une telle constance – à trente-six ans – au prix d’une approche quasi obsessionnelle ou
