Accueil Édition Abonné « Décolonialisme » : vous l’aimez en littérature, vous l’adorerez en sciences

« Décolonialisme » : vous l’aimez en littérature, vous l’adorerez en sciences

Quand la bêtise s'immisce dans les sciences


« Décolonialisme » : vous l’aimez en littérature, vous l’adorerez en sciences
Cellules humaines © Pixabay

Depuis cinq ans, des étudiants d’Afrique du Sud tournent en rond, tentant de définir ce que seraient une « algèbre décolonialisée » ou des interactions moléculaires indigènes.


À la base, un constat. Depuis un siècle, le corpus des connaissances est établi par des Blancs, principalement américains, britanniques, allemands, français et suédois. Ils trustent les récompenses, prix Nobel ou médaille Field [tooltips content= »Classement des Nobel fin 2018 : USA, 377 ; Royaume-Uni, 130 ; Allemagne, 108 ; France, 69 ; Suède, 31. Vient ensuite le Japon, avec 27 Nobel, mais c’est un pays qui existe encore moins que la Chine, dans la pensée indigéniste décoloniale. »][1][/tooltips], souvent pour des raisons évidentes. Les investissements en R&D de la France ou de l’Allemagne dépassent très largement ceux de l’Afrique entière, sans même parler des États-Unis.


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Mars 2020 - Causeur #77

Article extrait du Magazine Causeur




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