À l’occasion de la panthéonisation de Joséphine Baker (née aux États-Unis, naturalisee française en 1937), il convient de mesurer le chemin parcouru dans le mauvais sens “racialiste” par l’antiracisme (devenu par trop activiste, indigéniste et même parfois… raciste !). Et de parler un peu de certaines personnalités emblématiques qui pensent que la France est un pays foncièrement raciste.
Rokhaya Diallo, spécialiste des thèses racialistes made in USA, ne rate jamais une occasion d’esquinter la France.
Passée par la filière des Young Leaders (les possibles futurs leaders d’opinion « issus de la diversité » et repérés par l’ambassade américaine à Paris), Rokhaya Diallo est revenue de son stage américain avec une conviction : « La France est un pays très vieux, très lent à bouger, très petit dans le monde. » [1] Et très raciste. Depuis, elle ne cesse de travailler pour déceler partout où elle le peut des traces de ce racisme systémique français qui, dit-elle, ne peut plus être nié.
Les béquilles de la race
Satisfaits du travail de sape de son élève, les États-Unis ne cessent de lui remettre des billets d’honneur : désignée comme « une des personnes les plus influentes d’Europe » (selon le média en ligne Politico basé à Washington), chercheuse en résidence à l’Université de Washington, elle rédige également des tribunes pour le Washington Post. Dans ce dernier, à propos de l’hommage que la France rend à Joséphine Baker, elle écrit : « Ne laissez pas l’histoire inspirante de Joséphine Baker effacer le racisme omniprésent
