Habitué aux joutes médiatiques, hier comme dirigeant communiste, aujourd’hui comme chroniqueur politique, Olivier a des tripes et du cœur quand il s’agit de défendre ses idées. «J’aime qu’on me contredise!» pourrait être sa devise.
Nous venons de vivre trois moments très français. Chacun a sa singularité. Tous donnent à voir le réel et questionnent sur ce qu’il convient de faire.
J’ai vécu en direct la secousse Conseil d’État/Reporters sans frontières/CNews. Quelques voltairiens en peau de lapin ont voulu nous dire avec qui il était possible de débattre et sur quels sujets. J’ai horreur que l’on me dise ce qu’il convient de dire et de penser. Je déteste l’idée d’un code-barres sur nos fronts, qui peut se transformer en cible par les temps déraisonnables
