La langue française se fait défoncer à coups de e.e de é.e, de points par devant, de point-virgule par derrière (hum…) par les néo-mal baisés de l’inclusivité. On veut en plus nous refouler à l’entrée de l’un des mots les plus pénétrants de la langue française. Le mot couteau suisse de référence. Il se dispute, et ce n’est pas son meilleur rôle, au volant sur les boulevards pour finir en baston au fond d’une impasse. Il soulève les mouches, le stade, le Bois, les travelos, matelots, métallos, intellos, les Brigitte, Marine, Sandrine, Emmanuel, Jean-Luc, Edouard, Éric… Il est utile quand, à bout d’arguments construits et policés, il déboule viril mais correct pour résumer le fond de la pensée et mettre tout le monde d’accord : Enculé!!!
Daphné à la télé. Un De Saint-Sernin balance du haut de l’arène un “enculé”, il est repris à la volée par une Daphné en
