Aux portes de la mort, Eastwood sauve un ado mal parti dans son ultime « Cry Macho ». Le film de trop ?
Pour trois films testamentaires, un 4ème offert : ça se passe comme ça chez Clint Eastwood. Après « Million dollar baby », « Gran Torino » et « The Mule », de qualité décroissante, voici encore plus bas « Cry Macho » où l’acteur-réalisateur, vieillard à verdeur éprouvée, remet dans le droit chemin un ado à moitié mexicain et le ramène chez son père, une canaille mais qu’importe.
Déjà vu mille fois en beaucoup mieux (« Honkytonk
