Le poison létal inoculé par la milice de la pensée verte-rouge-LGBT, commence à infuser le fragile cerveau des ados. Oh, pas une majorité, mais une part non-négligeable de la jeunesse part à la chasse aux garçons dragueurs et mateurs. Le terrain de jeu des primes amourettes de l’été était cette année miné par la surveillance de la police des mœurs prépubères.
Il faudra bien qu’un jour, Sandrine, casaque verte, toquée poivre et sel, Mathilde, casaque rouge, queue de percheron et consœurs pas sortables, comparaissent un jour pour crimes contre la féminité.
Alerte à Malibu. Le cheveu court, en brosse, piercings, short de foot, marcel, collier anti puces, Doc Marteens, tatouages qui n’incitent pas à apprendre à lire, la canette de bière tiède, c’est le tableau des jeunes surveillantes de plage cette année. Avec l’aisselle “forêt noire” pour s’assurer que les garçons optent définitivement pour la pêche en haute-mer à parcours-sup. À regretter que le burkini ne soit pas obligatoire pour certaines. Heureusement, il reste aux gamins l’image des Italiennes pour monter le piquet de tente. Elles sont tellement chargées en femellité, qu’elles ne sont pas prêtes à se transformer en hyènes tondues, le bronzage maçon portugais, le mollet du cycliste slovène, la sape du punk à chiens, la classe du parasol Orangina.
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Adocides. En matière de féminicide, il n’y a pas que les trop nombreuses femmes qui tombent sous les coups d’ordures avinées. Il y a cette brigade de dindes qui rend suspects la féminité, la virilité, l’harmonie entre les sexes, pour qu’in fine les hommes et les femmes qui vivent aujourd’hui côte à côte, se retrouvent demain face à face. Dès aujourd’hui on constate, chez certaines ados, les dégâts causés par la folle entreprise de ces idéologues. Elles veulent la fin du slip kangourou, la mort du taureau, les couilles du torero, la queue du boucher. Plus de taureaux, plus de veaux… des vaches à perte de vue.
Femmes de ménage. Elles ont fait le ménage, balayé les femmes qui se sont imposées aux hommes par leur talent, leur personnalité, leur féminité. Balayées les Françoise Hardy, Véronique Sanson, Sagan, Deneuve, Duras et toutes nos mamans, qui en provoquant l’admiration ont fait plus pour la place des femmes que la croisade des pas finies.
Qu’on ne s’y trompe pas, leurs aboiements expriment moins la haine des hommes que la peur de n’être plus regardées.