L’extrême gauche est dans un deux poids deux mesures permanent
L’expédition meurtrière de Crépol a suscité l’incompréhension de certains, l’indignation de beaucoup. Une preuve de plus de l’ensauvagement, selon le ministre Gérald Darmanin : il a raison. Et bien plus qu’une rixe, selon le terme médiatiquement utilisé pour banaliser ces barbaries ordinaires qui, chaque jour ou presque, viennent jeter leur horreur au visage de la France.
Une accusation systématique
Fabien Roussel, Secrétaire général du parti communiste, a dit ce qui convenait sur cet épisode odieux de violences collectives mais il a éprouvé le besoin d’ajouter à son « propos une tonalité politicienne : « Des responsables d’extrême droite se saisissent de ce drame pour en faire un projet politique »[1]. Que Fabien Roussel vise l’extrême droite ne m’étonne pas. C’est une habitude de la gauche et de l’extrême gauche. L’extrême droite (si cette définition a encore du sens ?) pourrait considérer cette dénonciation comme une sorte d’hommage pervers
