Thomas a eu droit à une marche blanche, mais n’aura probablement pas droit à une minute de silence à l’Assemblée nationale comme Nahel, observe notre chroniqueur.
Le traitement médiatique, occulté par la gauche, du drame de Crépol (Drôme) dévoile l’ampleur du fanatisme diversitaire. Pour la presse progressiste, porte-plume de la fiction du vivre ensemble, l’assaut ethnique dont a été la cible, ce week-end, le bal populaire de ce village rural (532 habitants) n’existe pas. Tout juste s’agirait-il d’une rixe, d’un « ensauvagement » (Gérald Darmanin) entre deux bandes. La mort de Thomas Perotto, 16 ans, tué au couteau par un Français né à Romans-sur Isère il y a 20 ans, relèverait du fait divers.
Cette agression est d’ailleurs comparée,
