Habitué aux joutes médiatiques, hier comme dirigeant communiste, aujourd’hui comme chroniqueur politique, Olivier a des tripes et du cœur quand il s’agit de défendre ses idées. «J’aime qu’on me contredise!» pourrait être sa devise.
Ici, la liberté du chroniqueur est totale. Pour autant, avant d’écrire, j’aime bien prendre la météo de l’humeur de la rédactrice en chef. « Tu es très sérieux dans tes deux premiers textes ! » Elle dit « très », j’ai compris « trop ». Alors allons-y, prenons le chemin d’une mégabassine de poilade, dégoupillons une bombe de désencerclement pour étourdir la foule des fâcheux et des fâchés. J’ai donc commencé par la lecture du dernier livre d’Éric Zemmour. La première citation m’a fait sourire. L’auteur convoque le souvenir de Georges Marchais, mais avec une regrettable approximation. « Vous avez vos questions, j’ai mes
