Emmanuel Macron veut inscrire la notion de consentement dans la définition juridique du viol. Une fausse bonne idée.
Bien sûr, ce n’est pas fait. Mais le président a évoqué cette possibilité avec l’association féministe Choisir la cause des femmes, le 8 mars : « Que le consentement puisse être inscrit dans le droit français, je l’entends tout à fait ».
Aujourd’hui, voici la définition du viol telle qu’elle apparait dans le Code pénal : « Tout acte de pénétration sexuelle, ou bucco-génitale commis par violence, contrainte, menace ou surprise ». Pour les ligues de vertu féministes, c’est évidemment insuffisant. Elles veulent que la France imite l’Espagne et la Suède, pays où tout
