Au début, à Causeur, je plaidais pour que les commentateurs commentent aussi librement que les écriveurs écrivent. Et puis je vous ai lus. Après quelques intéressants échanges sur l’article prétexte, vous commencez ordinairement à vous empailler sur des sujets qui, sans vouloir critiquer, s’éloignent de plus en plus de la choucroute…
Sachez donc que, pour qui vous l’a mitonnée avec amour, cette choucroute, c’est dur ! « Un grand moment de solitude », me confiait ainsi X[1. le X a été changé pour des raisons d’anonymat], chroniqueur à Causeur. Voilà pourquoi, aujourd’hui, je ne lis plus que les commentaires des articles frappés d’un « C » comme censure. Censure au sens de cens, c’est-à-dire de pognon, vous avez mille fois raison ! Mais qui, de nos jours, dépenserait 45 € par an pour des idées ?
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