J’ai pu retrouver, cet été, le fascinant babillage de mes petites nièces, venues visiter leur tata. C’était la première fois après un réveillon passé dans la cuisine. Ces demoiselles avaient profité des confinements, couvre-feux et restrictions diverses, pour croître un tout petit peu en sagesse, pas mal en stature mais surtout beaucoup en grâce devant Dieu et devant les hommes. Leurs pouces avaient aussi sérieusement gagné en agilité. Elles étaient donc désormais au taquet et définitivement branchées worldwideweb.
Le cloud, ce paradis de l’hyperespace
Naïvement, j’eus un matin l’idée saugrenue d’interrompre leur épuisant travail manuel pour me hasarder à leur demander si elles savaient où et comment étaient
