La journaliste de gauche a déroulé un étrange argumentaire pour contrer les propositions d’Eric Zemmour contre les migrants clandestins se rendant coupables de viols.
L’histoire de Claire est connue. BFMTV, RMC, TPMP, Le Figaro : la Parisienne de 26 ans a été reçue sur de nombreux plateaux TV pour raconter le viol dont elle a été victime. Le 11 novembre dernier, elle a été violée dans le hall de son immeuble du 8e arrondissement de Paris, en pleine après-midi, vers 16h30, par un migrant centrafricain qui faisait l’objet d’une OQTF.
Comme elle l’a confié au Figaro, Claire a décidé de médiatiser elle-même son histoire, notamment en contactant Éric Zemmour, afin de « faire bouger les choses d’un point de vue politique ». « J’ai envie de parler pour prévenir les femmes qu’on n’est plus en sécurité en France, même dans un quartier qui ne craint pas » a-t-elle expliqué, rappelant un fait indiscutable : « Si l’OQTF avait été exécutée, ça ne serait pas arrivé »1. Le viol a duré près d’une demi-heure, l’arrivée d’une voisine mit un terme au calvaire de Claire en provoquant la fuite de son bourreau, qui a rapidement été interpellé et mis en examen. Malheureusement, entre-temps, ce dernier a violé une autre jeune femme le même jour ! En effet, Mathilde, 19 ans, a été violée dans le 17e arrondissement par le même migrant le 11 novembre. « Je me suis dit que j’allais mourir », a confié Mathilde au Parisien2.
Pousser l’affirmation adverse au-delà de ses frontières naturelles
Sur Twitter, le 19 décembre, la journaliste en vue Salomé Saqué, du média en ligne de gauche
