Habitué aux joutes médiatiques, hier comme dirigeant communiste, aujourd’hui comme chroniqueur politique, Olivier a des tripes et du cœur quand il s’agit de défendre ses idées. «J’aime qu’on me contredise!» pourrait être sa devise.
Ni fleurs ni couronnes. Ci-gît le « en même temps » macronien, après la tentative de grand écart sur le projet de loi immigration. J’ai toujours été un fervent défenseur du clivage gauche/droite. Il permet un débat politique clair et transparent, une bataille idéologique indispensable à une vitalité démocratique. Encore faut-il savoir où en est la droite. Encore faut-il comprendre où se situe la gauche. Je sais aussi que les gouvernements de centre droit, ceux qui ont voulu à eux seuls représenter le « camp de la raison »,
