L’histoire de l’art se porte mal. Cette noble discipline conjugue certes deux tares, l’histoire et l’art, autant dire ce que les chantres du nouveau monde haïssent le plus par les temps qui « courent ». Si son enseignement est sinistré, l’histoire de l’art résiste toutefois encore dans les musées grâce à ce qu’un communiqué du Centre Pompidou qualifiait récemment dans sa novlangue impayable de « présentiel » (comprenez : la contemplation des œuvres in vivo (sic) !). Las !
« Une femme au désert. C’est moi. »
Cette évidence ne suffirait pas partout à attirer le
