Parmi les calamités qui ont marqué l’année 2020, il faut compter une poignée de disques de chanteuses ambitionnant de révolutionner la langue française.
Dans une actualité musicale en berne, il importait pour la presse autorisée de se pâmer devant ces nouvelles héroïnes, comme Aya Nakamura qui abreuve ses auditeurs d’un lourd sabir déroulé sur une musique conventionnelle. Pour France Info, la native de Bamako « fait bouger la langue française » grâce à un savant mélange de dialecte africain
